sidérurgie et intranquillité

Commençons donc. Même compacts dans le garrot feuilleté des croûtes et du fardeau pascal (ici chaque kilo se fraie sous l’autre à l’infini). Oui même dans le noir immaculé de nœuds à rendre tels quels, depuis l’intact. Parce que c’est d’ores et en silence que doit s’écrire (et s’y résoudre) l’opacité de l’ocre. L’histoire des lames ne se ramasse qu’ainsi, plaies de lit moulées dans le labour (et l’à rebours impraticable) de terres à ne plus savoir qu’en faire (sauf que nous grugerons du soir venu à l’aube – herbage et pulpe – pour jouer de nos dents avant qu’elles cassent). Aussi commençons donc. Et de ce seul geste sans qui voulu, sommons l’espace (luxuriances et gestations par-delà sondes et tacts) de nous permettre, de nous admettre enfin. Déjà la rose irrésolue des sens, déjà le bas-ni-haut tangue et nous ploie entre magma et rouille (nous sommes tant de rouge à ne s’être jamais vu). Entre l’infusion du tout-retour et cette trop lente infiltration d’un ciel à peine oxyde et picotem...